Moon ChildPays : Japon
Année : 2003
Réalisateur : Takahisa Zeze
Acteurs : Gackt Camui, Hyde, Zeny Kwok, Etsushi Toyokawa, Lee-Hom Wang
sypnosis : Gackt Camui, une grande pop star au Japon, comme Sho, son personnage dans le film, interprète un gamin des rues japonais menant une vie dure dans la ville fictive de Mallepa à Taiwan en 2014.
Durant un chapardage de routine, le jeune Sho rencontre le léthargique vampire Key (Hyde, qui est aussi une grande pop-star au Japon), qui est prêt à en finir avec la vie. Mais Sho sauve Kei, qui le sauve à son tour d'une mort certaine, et ils deviennent un duo d'amis très proches.
11 ans plus tard, Sho et Kei, fermement retranchés dans les bas-fonds de Mallepa, font livrer des pizzas droguées aux bandits locaux et puis les volent. Le troisième membre du triumvirat est Toshi (Taro Yamamoto), un autre orphelin.
Pendant un autre raid dans un salon de jeu, le trio rencontre Son (Lie-Hom Wang), un Taiwanais qui venge le viol collectif de sa soeur muette Yi-Che (Zeny Kwok), par les bandits. Tous les quatre deviennent rapidement amis, ce qui nous mène...
...encore rapidement quelques années plus tard. Sho est maintenant un bandit notoire, mais les choses ont changé. Leur copain Son a rejoint une bande rivale, et Kei a été absent pendant un certain temps.
Nous apprenons que Kei est en fait encore vivant et en prison à l'intérieur d'une certaine ville plongée dans la guerre civile ou quelque chose comme ça. Kei veut renoncer à vivre et souhaite mourir.
Pendant ce temps, Son ressent la pression du Mafioso local et il a le choix de le rejoindre ou d'être tuer.
critique : Un vampire solitaire, quelques effets spéciaux à la Matrix, une histoire d'amour, d'amitié, des immigrés japonais à Taiwan, des affrontements entre bandes rivales, et la mafia locale, voilà ce qu'est Moon Child et bien plus encore.
L'histoire n'est pas ennuyeuse du tout, et contrairement à ce qu'on aurait pu attendre, Gackt et Hyde tirent bien leur épingle du jeu car n'oublions pas qu'ils sont des "idolus" de la chanson (pop-stars japonaises) et pas des acteurs professionnels.
En conclusion, ce film se laisse regarder, et même si je ne suis peut-être pas très objective puisque je l'ai traduit, mais les images parfois vous sautent à la figure, et Gackt est tellement beau qu'on en oublie le reste.[/align]